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Le d cursif ou delta latin est utilisée pour représenter une consonne fricative dentale sourde /ð/ comme alternative à la lettre D insulaire ‹ Ꝺ, ꝺ › par les médiévalistes gallois[1] et parfois dans l’écriture manuscrite utilisée en gallois moderne[2].
Un delta est aussi utilisé dans l’alphabet mixte latin-grec de l’arabe chypriote maronite ou dans l’alphabet du wakhi, tous deux avec la forme du delta grec ‹ Δ δ ›. En salentin central, Antonio Garrisi utilise un delta comme lettre latine[3], transcrite avec D point souscrit ‹ ḍḍ ›, ‹ ddh ›, ‹ ddhr › ou ‹ dh › par d’autres auteurs[4].
Représentation informatique
La forme minuscule de cette lettre possède la représentation UnicodeU+1E9F depuis la version d’Unicode 5.1 de 2008.
(en) Board of Agriculture, « Eighteenth day: Saturday, 12th November 1892 », dans Report of the departmental committee appointed by the Board of Agriculture to inquire into the Present condition of the Ordnance Survey, (lire en ligne), p. 214
(en) Michael Everson (dir.), Peter Baker, António Emiliano, Florian Grammel, Odd Einar Haugen, Diana Luft, Susana Pedro, Gerd Schumacher et Andreas Stötzner, Proposal to add medievalist characters to the UCS (no L2/06-027, N3027), (lire en ligne)
(en) Patrick Sims-Williams, « ‘Dark’ and ‘clear’ y in medieval Welsh orthography: Calgula versus Teilo », Transactions of the Philological Society, vol. 1191, , p. 9-47 (DOI10.1111/1467-968X.12205, lire en ligne)
(en) UK National Body, Feedback on N3027 "Proposal to add medievalist characters to the UCS", (lire en ligne)